Son travail, entre tradition et modernité, traite aussi de la mémoire de l’esclavage. Il a beaucoup photographié les eguns (revenants), afin de mettre en avant la tradition autour du culte des morts. Ses portraits révèlent un sentiment d’intemporalité et de surnaturel…
« Dans cette partie du monde, avec ses traditions spirituelles mixtes de catholicisme et de vodun, la photographie existe comme moyen de médiation entre les vivants et les morts. »
Son travail est exposé au Brooklyn Museum à New York, au Musée Guggenheim à Bilbao, dans les galeries Saatchi et Jack Bell à Londres, au Vitra Museum à Bâle.